Les 2èmes rencontres du CODEV – 26 janvier 2019

La démocratie participative intercommunale s’inscrit dans le paysage institutionnel avec l’émergence des conseils de développement : le CODEV de Tours Métropole, créé depuis 2 ans, organise ses 2e rencontres le samedi 26 janvier de 9h à 17h, à MAME. (Programme et formulaire de réservation à venir)

Les 2e rencontres se saisiront de la thématique de l’amélioration et de l’adaptation des services publics parle prisme de l’approche temporelle en abordant les méthodes de co-conception des services publics, comme par exemple le design de service public pour construire avec les destinataires des politiques publiques -les usagers donc- des services permettant d’opérer une meilleure articulation entre les temps personnels, familiaux, professionnels, sociaux et civiques.

Il s’agira de mieux comprendre comment les espaces de démocratie participatives peuvent prendre leur part, en leurs qualité d’experts de l’usage pour participer à la co-construction de politiques territoriales plus inclusives et plus adaptées aux nouveaux usages et aux nouvelles temporalités. Les exemples des équipements sportifs et culturels permettront d’illustrer les marges de manœuvre possibles. 

La démocratie participative intercommunale s’inscrit dans le paysage institutionnel avec l’émergence des conseils de développement.

Le CODEV de Tours Métropole, créé depuis 2 ans, organise ses 2eme rencontres le samedi 26 janvier de 9h à 17h, à MAME.

L’expérience des habitants nourrit l’expertise d’usage dont se revendiquent les instances de démocratie participative. Instance métropolitaine de démocratie participative, le CODEV de Tours métropole, en sollicitant les instances communales, comme les conseils de quartier, conseils de vie locale, conseils des ainés, comités d’usagers ou simples citoyens, entend prendre en compte leurs apports dans ses réflexions et contribuer ainsi à améliorer l’action publique à l’échelle du territoire.

Actrice et observatrice, la société civile se fait l’écho de l’évolution des usages liée aux mutations sociétales(emploi, logement, vieillissement, loisirs, etc.) , mais également d’une aspiration de plus en plus affirmée à s’exprimer sur les conditions de mise en oeuvre des politiques publiques, afin qu’elles répondent au plus près aux attentes du plus grand nombre.

A ce titre, la désynchronisation des temps de vie est un exemple emblématique d’une dimension encore insuffisamment appréhendée par les concepteurs des politiques publiques. Or, mieux comprendre le fonctionnement temporel d’un territoire et de ses citoyens contribue à mieux prendre en compte les attentes et les besoins de plus en plus diversifiés.

Mais le service public peut-il et doit-il répondre à la somme de tous les rythmes et modes de vie ? L’individualisation des modes de vie est-il compatible avec un service public conçu pour répondre au collectif ? Quelles méthodes et quels outils mettre en œuvre pour essayer de faire consensus ?

Les 2e rencontres se saisiront de cette thématique de l’amélioration et de l’adaptation des services publics par le prisme de l’approche temporelle en abordant les méthodes de co-conception des services publics, comme par exemple le design de service public pour construire avec les destinataires des politiques publiques -les usagers donc-  des services permettant d’opérer une meilleure articulation entre les temps personnels, familiaux, professionnels, sociaux et civiques.

Il s’agira de mieux comprendre comment les espaces de démocratie participatives peuvent prendre leur part, en leurs qualité d’experts de l’usage pour participer à la co-construction de politiques territoriales plus inclusives et plus adaptées aux nouveaux usages et aux nouvelles temporalités. Les exemples des équipements sportifs et culturels permettront d’illustrer les marges de manœuvre possibles. 

Il s’agira par ailleurs de poursuivre la réflexion initiée lors des 1ères rencontres de 2018 pour créer un espace d’échange et de réflexion entre les différentes instances citoyennes des communes, des intercommunalités y compris en envisageant la plus-value qu’elles pourraient apporter dans une lecture plus élargie du territoire, notamment sur l’échelle départementale.


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